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Se connecterUn poème parlé pour toutes et tous (inspiré par la vie et l'oeuvre de Ladislaw Kijno (mais pas que !)
écrit et interprété par Thomas Suel
qui que l'on soit, d'où que l'on soit
que l'on se connaisse ou pas,
que l'on s'aime ou que l'on se déteste
à l'instant même, le fait est
le souffle nous traverse
[nø] ça se dit « Noeux » comme Noeux-les-Mines ou « No ! » comme No Pasaran ! ou « nos
noeuds » comme les noeuds qu'on a et qu'on fait en et entre nous. [nø] ça peut se dire aussi neuneu
car le fait est, nous sommes toutes et tous un peu neuneu.
[nø] c'est un poème parlé et un poème visuel peint en direct en phonétique, une forme inclassable
ouverte sur l'instant qui se vit là. [nø] c’est un récit inspiré par la vie et l’oeuvre du peintre Kijno et par la parole d'habitant·es du Pas-de-Calais.
Nourrie par des visages et des paysages ordinaires, la poésie de Thomas est à la fois dense et légère, tendre, rude, tragique, drôle, singulière et universelle.
[nø] est une ode au souffle, une oeuvre qui aide à embrasser les ombres et les lumières qui nous trament et nous traversent. Un texte pacifiste et vivifiant adressé sans tralala à toutes et tous.